Contre-ingérence et Réseaux Sociaux Numériques

Trois méthodes, une première approche. L’EPGE publie cette tribune dont les propos n’appartiennent qu’à son auteur. La position de l’EPGE sur le covid-19 est qu’il ne s’agit pas d’une démarche volontaire de la Chine mais d’une conséquence de ses incohérences structurelles. En revanche, les manœuvres de guerre de l’information sont intéressantes à suivre dans ce contexte. C’est ce que l’auteur de cet article pointe du doigt.

Global, Réseau, Internet, Technologie, D'Affaires

par Philippe Wallon

Médecin, psychiatre.

« Dès le premier instant où j’ai entendu parler du Covid-19, j’ai senti le caractère anormal de cette affaire. J’ai alors entrepris un travail de recherche et ai découvert l’ingérence sino-russe dans les Réseaux sociaux numériques (RSN). Cette infodémie (OMS) avait été identifiée par le Département d’État américain[1]. J’ai commencé un travail d’analyse, explorant les liens entre cette ingérence et ses répercussions sur de nombreux pays, en particulier le nôtre. Un premier rapport sur cette recherche a été mis en ligne« .

De nombreux travaux soulignent les lacunes du monde occidental en termes de contre-ingérence et du risque des RSN : en langue française, celui de M. Harbulot sur Daech en 2015, la Mission Régulation des réseaux sociaux – Expérimentation Facebook[ en 2019, enfin le Handbook on countering russian and chinese interference in Europe, daté également de 2019. Mais aucun n’évoque de méthode semblable à l’Affaire Covid-19. Actuellement, dans la presse, on ne trouve rien non plus.

Notre pays n’était pas culturellement préparé à cette ingérence. Quand je l’ai évoquée, on m’a traité de complotiste. Dès que j’ai eu suffisamment de documents, j’ai pris contact avec la Sécurité intérieure. On m’a mis en relation avec l’État-Major permanent (EMaP), structure inter-service de lutte contre le terrorisme, crée en 2019. J’ai envoyé mon dossier, référencé, et n’ai eu aucun retour. Erreur de méthode ? Le Manuel sur la lutte contre les ingérences russes et chinoises en Europe dit le « manque de compréhension qui prévaut au sein des communautés de journalistes, de chercheurs non-gouvernementaux et de décideurs politiques sur ce que les services de renseignements nationaux considèrent comme les principales menaces d’ingérence étrangère. » Il détaille de nombreuses méthodes d’ingérence russe et chinoise, contre lesquelles nous ne faisons rien. La Proposition de résolution du Parlement européen sur la communication stratégique de l’union visant à contrer la propagande dirigée contre elle par des tiers, votée en 2016, suggère d’y associer la Russie comme « amie ». Et l’agence russe Sputnik qualifie d’« outil de riposte très discret[2] » l’East StratCom Task Force, cellule européenne qui a pour mission de repérer les informations trompeuses sur la toile ; Vladimir Poutine ne nous prend pas au sérieux. L’Europe, tout comme notre pays n’ont pas mis en place des services de Sécurité capables de nous protéger.

Il nous faut y remédier. Je parlerai donc ici de la manière dont j’ai identifié l’ingérence russo-chinoise du Covid-19 (détection intuitive), des lacunes de la méthode habituelle (détection sémantique, en termes de fake-news) et je proposerai les bases d’une approche pour bloquer les ingérences sur les RSN (détection et contre-ingérence algorithmiques).

La détection intuitive

Tout le monde peut mettre en place cette méthode, qui peut concerner un pays (ou plus), mais aussi un groupe social plus limité. Voici, pour la comprendre, mon histoire, brièvement. Fin janvier 2020, lors des premiers malades français, j’écoute le 20 heures, ce que je ne fais quasiment jamais et j’entends un discours dramatique sur les patients atteints de coronavirus, avec ces mots « pandémie » et « menace sanitaire mondiale ». Étant médecin, j’ai quelques connaissances sur les maladies infectieuses. Pour moi, une pandémie est excessivement grave, « une fois tous les 25 ans » (selon Wikipédia), ou à peu près. Or, il n’y avait, à l’époque, que 700 morts, surtout en Chine. Avec la fermeture des villes, on traitait cela comme catastrophe planétaire. Je consulte alors Internet : la « grippe saisonnière » tue de 250.000 à 650.000 personnes annuellement, et on n’en parle à peine. Rien qu’en France, 7 millions de personnes, par an, sont contaminées.

Le hiatus colossal entre les propos des journalistes, appuyés sur des images frappantes, et les références d’Internet m’évoque un phénomène psychiatrique. J’y vois un raisonnement faux (la catastrophe) sur des bases justes (le nombre de malades et de contaminés), une atmosphère passionnelle (le drame) en même temps qu’une angoisse extrême. Ces caractères m’ont aussitôt évoqué une psychose paranoïaque. Or, comme on le retrouvait sur toutes les chaînes de télévision et de radio, ainsi que sur toutes les pages Internet, c’était un délire collectif.

J’ai lu que le Covid-19 n’était « pas comparable » à la grippe saisonnière. Or, on peut tout comparer, même un chausson à un rhinocéros. Mais pas Dieu ! Nous étions donc dans un cadre mystique, et non objectif. J’ai cherché des données chiffrées, âge des patients, maladies associées. Rien ; impossible d’en trouver. Les premiers apparurent le 17 mars[3]. Ceci m’a ramené à l’occultation des sources (les données pertinentes sont cachées), typique de la paranoïa.

Les journalistes, et même tout ceux que je rencontrais, s’exprimaient par slogans, un discours stéréotypé, comme appris. J’ai pensé à un conditionnement par les Réseaux sociaux numériques, leurs algorithmes pervers et donc une ingérence. À la mi-février, j’ai eu la confirmation, avec le Département d’État américain, évoqué plus haut.

En résumé, je ne connaissais rien au Renseignement et n’avais rien pour imaginer une quelconque influence étrangère. Or, j’ai pu la découvrir, l’identifier et en avoir le détail, au fil de mes recherches Internet, sur des documents publics, accessibles à tous.

J’appelle cette première méthode : la « détection intuitive » ou encore « tout azimut ». Ses bases sont (1) on n’a aucune connaissance sur l’ingérence, on ne l’attend pas, on ne sait même pas qu’il pourrait en avoir une, (2) on identifie un comportement anormal d’un ou de plusieurs sujets.

Cette méthode de terrain, est donc à la portée de toute le monde. Et pourtant, on a systématiquement refusé mon hypothèse. Quand j’ai appelé M. Jean-Yves Le Drian, il m’a dit de ne pas m’inquiéter. Il y a donc, chez nos concitoyens, même dans les sphères du Pouvoir, un manque de curiosité et de méthode : avec la « détection intuitive » on part d’un zéro absolu. On peut être cuisinier, garagiste, femme de ménage ou médecin, si on a un minimum de bon sens, on peut la mettre en œuvre.

Je pense donc nécessaire que, dès la scolarité maternelle, on enseigne aux enfants le « traitement de l’information ». C’est une nécessité stratégique, car nous reverrons des affaires comme celle du Covid-19. On doit éduquer le « jugement critique » dès la première année de Maternelle, pour protéger l’enfant contre tout type d’ingérence (sexuelle, par exemple). Je peux dire à un enfant de 4 ans, par exemple : « Voici une orange et une chaussette, dis-moi ce qui fait qu’elles sont pareilles[4] et ce qui fait qu’elles ne sont pas pareilles[5] ». On lui enseigne la discrimination, l’observation, le raisonnement, etc. On recommence avec des choses plus difficiles, comme de comparer un pamplemousse et une mandarine, ce qui nécessite des nuances[6], etc. Cette méthode est reprise dans un test psychologique d’intelligence[7], d’où son importance.

En face de toute circonstance, quelle qu’elle soit, on doit toujours avoir un outil pour la décrypter, même si on n’y a jamais été confronté. Je vois beaucoup de gens, et non des moindres, qui refusent de raisonner. Nous ne sommes pas préparés aux crises, elles provoquent l’affolement, chez nos gouvernants comme chez tous nos concitoyens.

On doit garder l’idée de « normalité », et savoir si on s’en écarte. Il faut chercher des « références objectives », établir des comparaisons, rester les pieds sur terre. Avec le Covid-19, on a oublié ce B A BA. 

Détection et contre-ingérence sémantique

Seconde méthode. On entre dans du connu, mais cette facilité est trompeuse. La détection « sémantique » se réfère à « signification ». On traite ici l’ingérence en termes de vrai/faux. C’est ce qu’on a fait avec l’infodémie (OMS). Parmi plus de 100 millions de messages quotidiens sur les Réseaux sociaux numériques (RSN), on a détecté environ 4 millions issus de sources identifiées comme russes. Une partie provenait de robots et une autre de personnes physiques. On a constaté qu’une minorité était constituée de fakes-news, des propos fallacieux, très divers, et qu’on a soigneusement classés. On s’est arrêté là. Or, une majorité des messages portait sur le coronavirus et, comme ils étaient vrais, on ne leur a pas porté attention.

Or, vrais et faux, ces messages étaient véhiculés, multipliés à l’infini par une communication virale, renforcés et validés grâce aux algorithmes pervers des Réseaux sociaux (chambre d’écho médiatique, bulle de filtres…), jusqu’à marteler les cerveaux de ceux qui les recevaient, créer un consensus de drame, qui n’avait rien de médical (on a un traitement, ancien et éprouvé, qu’il fallait tester). C’est le délire que j’ai détecté au travers des médias.

Pourquoi en est-on arrivé là ? Les RSN sont assez nouveaux, et on n’a pas encore élaboré de vrais contrôles de ces communications. Les messages sont courts, l’information y est très réduite, sans nuances. Ce sont des slogans, qui suscitent des émotions, pas de la réflexion, ni aucune démarche rationnelle. Ils ont entraîné une Grande Peur, celle que nous vivions au Moyen Âge.

Prenons deux exemples, liés au Covid-19. L’épisode de la maladie de Kawasaki, en premier lieu : une simple demande de renseignement d’une équipe médicale a pris un tour viral, et a affolé les mères des jeunes enfants : le virus ne les épargnait donc plus et il créait une insuffisance cardiaque. Second cas : le prétendu traitement miracle, le tocilizumab, a été annoncé par une équipe médicale qui cherchait le buzz, comme une révolution, mais sans aucune justification chiffrée. La communauté scientifique s’en est émue, il a fait scandale.

Ces errances, ces folies, nous conduiront, tôt ou tard, à exclure les RSN des communication scientifiques, Internet (le Web 1.0) étant beaucoup plus approprié. On peut imaginer l’interdire à tout détenteur de l’autorité. Les messages de nos gouvernants reproduisaient ceux de Xi Jinping, une parfaite langue de bois ; le porte-parole de l’Élysée est beaucoup plus adéquat. Les RSN doivent être réservés à la seule communication avec les amis (les russes y compris !).

Une étude de l’Université de Yale[8] a montré que de déclarer « faux » un message renforçais la validité des autres. Détecter qu’il est faux réclame plusieurs minutes, un temps suffisant pour qu’il diffuse à des millions de réseauteurs. Un traitement sémantique, en termes de vrais-faux, ou de fake-news est donc inopérant, inefficace. Or, c’est le seul qu’on propose actuellement, le seul dont on parle dans les médias, le seul qu’utilisent l’OMS et les Gouvernements ; on comprend que l’ingérence russe ait pu se propager facilement.

Les Gouvernements se sont adressés à Facebook, Twitter… pour demander une régulation. Ils ont supprimé des milliards de sites suspects, ce qui montre l’ampleur du problème. Les gestionnaires ont diffusé des conseils de prudence. Or, c’est inefficace : les algorithmes des RSN sont fait pour rendre vrai n’importe quel message parce qu’il vient d’un ami de confiance. Celui qui le reçoit aura donc tendance à l’accepter, le croire. Les algorithmes renforcent les idées a priori (on les « brosse dans le sens du poil ») ; la personne ne les mettra pas en doute, ce seront pour elle des évidences, comme la gravité planétaire du Covid-19. Chamath Palihapitiya, ancien vice-président de Facebook chargé de la croissance des utilisateurs, a déclaré que les médias sociaux « érodent les fondements mêmes du comportement des gens[9] ».

Détection et contre-ingérence algorithmique

La contre-ingérence doit se faire en amont, d’une manière aidée, automatisée. C’est la troisième méthode, statistiques. J’ai repéré l’intrusion russe parce que les médias répétaient sans cesse les mots « pandémie », « menace sanitaire mondiales », ce qu’on appelle, en psychiatrie, des stéréotypies. L’ingérence, avec les algorithmes des RSN, en a fait un consensus, des « vérités premières ».

L’analyse du contenu des messages est courante dans les Réseaux, pour éliminer les contenus à caractère sexuel, pédopornographique en particulier, les incitations aux actions violentes (meurtre, suicide…). On utiliserait cette méthode d’une manière statistique pour repérer la fréquence anormale de certains mots dans un « flux » de messages, à un moment donné ou sur une période donnée. Le principe est celui des moteurs de recherche, qui donnent le nombre de pages où l’on a retrouvé ce mot. J’ai écrit sur Google « monde ». Résultat : 874 millions de pages explorées en 0,45 seconde. Avec plusieurs critères (ou mots), les chiffres baissent. Pour « chambre d’écho » (deux mots reliés), on tombe à 7 millions en 0,41 seconde. Cela fournit une idée de la rapidité, de l’efficacité d’un tel outil ; c’est très suffisant pour notre travail : le Département d’État américain chiffrait l’ingérence russe à seulement 4 millions de messages par jour, sur un total de 100 millions. Autant dire, presque rien.

Cela représente des moyens financiers : les modérateurs de contenus représentent, nous dit-on, 7 500 personnes qui travaillent à temps plein à travers le monde, capables de couvrir l’ensemble des fuseaux horaires et plus de 50 langues ! Mais l’automatisation des tâches doit faciliter le travail. Avec le Covid-19, on aurait pu opérer avec la syllabe « grav » qui renvoie à grave, gravité, gravissime, etc. Peu importe qu’on sorte aussi gravidité, gravidique, etc. Ce « déchet » est négligeable.

Il s’agirait de développer sur un mode contre-ingérence ce qui se fait quotidiennement sur les Réseaux. L’action russe pour le Covid-19 a été détectée par une augmentation du flux (25 %), par le nombre de sites mis en œuvre, ce qui a conduit à une analyse « fine ». On peut imaginer ne travailler que sur des « crises », surtout celles qui durent (plusieurs mois ici). Les communications virales sont quotidiennes, mais les « gros cas » semblent rares. On peut réduire la tâche en travaillant par « cluster », cibler les origines suspectes (russes et chinoises, par ex.) et sur leurs « miroir », dans d’autres pays, alliés. On pourrait aussi travailler avec une « bibliothèque » de mots recherchés préférentiellement, qui s’enrichirait et se renouvèlerait au fil des jours. Pour les Chinois, j’ai trouvé l’expression « folle rumeur » (concernant la sortie du virus du Laboratoire P4). Elle aurait dû entraîner une recherche approfondie, parce que relativement improbable.

L’ingérence russe s’est étalée sur plusieurs semaines. On devra travailler sur les méthodes et leurs variations. Les Russes ont eu sans doute leurs propres algorithmes qui se superposaient, complétaient ou se mettaient à la place de ceux du réseau lui-même. Ils avaient acquis leur savoir de l’Occident, car les Britanniques y auraient participé : Paul Staines écrit ainsi[10] : « Une société de relations publiques m’avait offert un prix incroyablement élevé pour donner une « masterclass » aux types de marketing d’entreprise sur la façon d’utiliser les médias sociaux. », et, parmi les assistants, on trouvait un espion russe bien connu des Britanniques, Nabolin !

L’extrême rapidité de la contre-ingérence algorithmique permet d’analyser le message dès qu’il surgit, en termes de flux. On peut même imaginer une réaction automatique si un flux paraît préoccupant, et que le réseau soit alors ralenti, ou ramené à un mode « SMS », par exemple. Le mode viral pourrait être limité, et les algorithmes opaques tout simplement interdits.

Le rapport gouvernemental sur Facebook, cité plus haut, disait la nécessité que le contrôle doit être exercé par le pays destinataire. Comme cette méthode est purement statistique, elle ne devrait pas gêner la CNIL ; on n’entre pas dans la confidentialité des échanges, leur intimité. Si une personne dit à une autre, par exemple, « je t’aime », ce message ne nous intéresse pas ; il n’a aucune chance de sortir, sauf à être viral !

On peut s’interroger sur l’acceptabilité de la méthode. Le gestionnaire du réseau ne peut que s’y soumettre, S’il ne le fait pas, il serait interdit sur le territoire national. Quant au destinataire, il devra l’accepter, à l’image des cookies, et même signer une décharge lors de l’achat de son contrat. Ceci l’incitera à la prudence, se sachant écouté. L’organisme qui contrôle les applications de contre-ingérence peut être tenté par un fonctionnement totalitaire. Mais cela doit être géré comme toute autre institution, qui impliquerait la Défense nationale.

L’analyse algorithmique n’est pas exclusive. L’analyse sémantique habituelle (fake-news) peut s’exercer parallèlement, car elle permet de responsabiliser le destinataire, le public.

Perspectives

Je n’ai parlé ici que des RSN, et ai seulement évoqué des principes de contre-ingérence. On pourrait s’étendre, car les rapports cités évoquent d’innombrables actions perverses de la part des Russes comme des Chinois (ou autres). La page de Wikipédia « Accusations d’ingérences russes dans l’élection présidentielle américaine de 2016 » l’illustre bien. Malgré cela, une méthode algorithmique reste adéquate, car elle est universelle, car elle se situe en amont de l’information ; elle ne se préoccupe pas de la variété des méthodes d’ingérence.

Une méthode de détection et de contre-ingérence doit prévoir tous les cas de figures, ou du moins une part suffisante. La guerre informationnelle a ses limites. Elle a un impact massif, mais son canal est réduit, puisqu’elle a trait à la seule information. Il nous faut également apprendre à nos concitoyens une self-défense personnelle. On ne fera rien sans eux.


[1] The Hill, 12.03.2020, “US paints murky picture of Russian disinformation on coronavirus” par Laura Kelly.

[2] « East StratCom Task Force, le bras armé de l’UE contre la propagande russe », Gaëlle Nicolle, sputniknew.com, 25 janvier 2017

[3] Donnés par l’Istituto Superiore di Sanità (ISS), l’institut italien de la santé.

[4] On peut les toucher, on en a besoin tous les jours…

[5] L’un est un fruit, on le mange, l’autre est un vêtement qu’on met au pied…

[6] Plus gros, plus petit, de couleur un peu différente, mais tous les deux sont ronds, des fruits, etc.

[7] Chez l’enfant, le WISC (subtest Similitudes) inclut ce type de raisonnement. Il n’est jamais systématiquement travaillé en classe. Les enfants en difficulté ont beaucoup de mal.

[8] Pennycook G. et al. The implied truth effect, Management Science, Forthcoming, Posted: 14 Sep 2017 .

[9] “Former Facebook executive has sworn off social media because he doesn’t want to be “programmed”, Quarz, Hanna Kozlowska, December 11, 201.

[10] “A very social spy. Me, Sergey Nalobin, and the age of disinformation”, Paul Staines, The Spectator, 17 March 2018.      
Paul Delaire Staines est un blogueur politique britannique de droite qui publie le site Web Guido Fawkes. Il a été décrit par le Daily Telegraph comme « l’un des principaux sites de blogs politiques britanniques ».


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